Adélia Jones

Nom: Jones
Prénom: Adélia
Âge: 59 ans (apparence de 17)

Race: Lycan
Rang: Lycan neutre

Sexe: Femelle
Sexualité: Hétérosexuelle

Physique:
Si on comparerait Adélia aux autres filles de 17 ans, on pourrait dire qu'elle est d'une taille moyenne. Pas trop grande ni trop petite. Ses longs cheveux couleur de jais qui depuis sa transformation étaient devenus beaucoup plus définis tombent en boucle jusqu'au bas de son dos incroyablement droit. Sa frange retombe souvent sur son oeil gauche, mais elle se hâte de la replacer au-dessus de son sourcil. On peut lire facilement toutes émotions qu'elle espère cacher par ses yeux verts émeraudes aussi éclatants que possible. Lorsque ses lèvres s'étirent pour former un magnifique sourire aux dents droites, des petites pommettes rosées se gonflent sous ses yeux aux longs cils foncés. Le complet de son visage lui donne un air enfantin et attachant. Blanche comme neige, le teint de sa peau est resté le même que depuis son fameux incident. Ses fines courbes légèrement musclées au niveau de ses bras et de ses jambes font tourné bien des têtes. Adélia adore porter des vêtements de couleur, aussi vif que possible, avec le plus de bijoux possible pour suivre la mode qui avait in considérablement changé depuis sa jeunesse. On pourrait la prendre pour une snobe ou une petite nature, mais elle ne pourrait sortir sans son incontournable jean. Depuis que ce dernier pouvait être porter par des femmes, elle ne pouvait plus s'en passer.
Lorsqu'elle se transforme en louve, le côté innocent de son physique fait place au côté imposant et terrifiant. Premièrement, elle est énorme! Aussi noir que c'est cheveux, son pelage est excessivement doux et il va dans tout le sens. Ses yeux devenus gris foudroient quiconque la contrarie.

Psychologie:
De nature joviale et épanouie, Adélia est une fille aimable et qui aime tout le monde. Elle ne cherche en aucun cas la guerre sauf si les circonstances lui oblige, par exemple: on s'en prend à sa famille ou à ses amies. Elle est très royale envers ses proches et jamais elle ne dénoncerait quelqu'un. Elle ne craint pas ses émotions comme la plupart des lycans qu'elle a rencontré au cour de sa nouvelle vie. Jadis, Adélia avait toujours la tête à la fête. Elle passait beaucoup de ses soirées à fêter et à s'amuser; tout le monde l'adorait. C'était une fêtard, mais autonome. Par contre, aux lendemains elle était incapable de sortir de son lit. Donc, elle lisait. Les livres c'est sa passion. Elle en dévore facilement en une matinée. Depuis c'est 42 dernières années, après son incident, elle a gardé cette habitude. Le matin elle est plutôt calme et silencieuse et plus la Lune approche plus elle est extravertie et bavarde. Elle est extrêmement orgueilleuse et, persévérante comme elle est, jamais elle ne savourait vaincue avant d'être à bouts de force. Elle est et a toujours été maladroite, mais depuis sa métamorphose lorsqu'elle glisse sur quelque chose elle se reprend d'une façon assez adroite. Elle croit terriblement au destin.

Autres:
Elle n'a jamais rencontré de vampires.

Histoire:
J'arrivais directement de Londres lorsque je débarquai en Pennsylvanie en 1965. Je cherchais du travail et nous savions ma famille et moi qu'il y en avait aux États-Unis. C'est donc le coeur gros que je fis mes adieux à ma mère, mon père, ma petite et ma grande soeur qui s'était marié récemment sans me douter que c'était la dernière fois que je les serrais dans mes bras. Bien sûr, je n'ai reçu aucune nouvelle d'eux depuis un baille. Ils me croient probablement tous morte. Peut-être même que mes parents sont décédés... mais en aucun cas, je me plein de se qui m'arrive! C'était mon destin et je l'accepte pleinement. Je peux aller aussi vite que je veux, sauter sur des mètres de distance, voir dans le noir comme si il faisait jour et puis, je n'écorche plus mes paumes et mes genoux.
J'arriva donc en Pennsylvanie en 1965 avec seulement un petit sac sur le dos, une valise remplie de vêtements dans une main et une petite somme d'argent américaine dans une poche. Mais très vite, j'obtins un travail et des amis géniaux.

Comme en Angleterre, je continuai de faire la fête trop souvent. Avec des amis on se rejoignait souvent près d'une rivière qui se jetait dans une énorme chute. Il nous fallait marcher pendant au moins une heure dans une forêt danse avant d'y aboutir. Un matin, je réussis de sortir de mon lit pour aller lire près de cette rivière. On se sentait tellement bien dans cette ambiance naturelle tout sentait si bon, tout était si beau! N'ayant aucunement peur de salir ma longue jupe je me coucha donc dans l'herbe, à plat ventre, sur une humble falaise d'où on pouvait voir le torrent.
Après quelques minutes de lecture, j'entendis du mouvement dans l'eau et je m'en fis asperger de quelques gouttes. Je mis mon livre de côté et pencha la tête dans le vide pour regarder dans la rivière. C'est alors que je réalisa que le courant était déjà beaucoup fort qu'à mon arriver et qu'un petit poisson tentait désespérément de remonter la rivière. Je tendit la main pour l'aider à traverser, mais je n'était pas assez proche, alors je m'agrippa fermement à la falaise et m'étira.
Sans crier gare, le bout de terre s'arracha et je tomba tête première dans le torrent. L'eau était profonde, mais pas assez pour que je puisse éviter les grosses pierres au fond. Je me cogna durement la tête et je sentis mon crâne se casser évacuant un fluide rouge tout autour de moi. Je me débattait pour revenir à la surface sans grand succès. À bout de force, je me détendit en supportant le mal affreux que m'apportait ma tête et attendit que le noir vienne. Mes poumons me demandaient de l'air, mais je ne pouvais plus respirer.
Alors que je croyais mon heure arriver, une main, à une vitesse incroyable, m'agrippa l'épaule et m'immergea de l'eau et me plaqua au sol. Je n'aurai su dire si mon sauveteur était un homme ou une femme, car le seul sens qui fonctionnait encore était le toucher et encore là, il était défectueux.
J'avais tellement perdu de sang que je sentis à peine mon sauveteur me lever le bras pour le porter à sa bouche. Une atroce douleur s'attaqua à mon avant-bras. Puis, ce fut le noir total.

Ce n'est que lorsque la Lune était bien haute dans le ciel que je me réveilla pleine de sueur. Des intenses secousses me parcourra le corps en entier. Je m'installa à quatre pattes pourvues à des secousses encore plus intense. Un cri de loup s'échappa de ma gorge et je me muta en lycan. C'est cette nuit là que je sus que je n'était pas destiné à mourir.
Plus tard, je découvris la rapidité, la force et l'adresse. Je rencontra d'autres lycans
qui me proposèrent d'aller voir du côté de Glemir. Ce que je me résolue donc à faire quelques années plus tard. Plusieurs d'entre eux voulurent me retenir à cause de la dangereuse présence des vampires dans cette ville. Personnellement, je n'avait jamais rencontrer de vampires donc aucun jugement ne serait porter à leur égard pour ma part.