Chasse!

Après avoir passer une autre journée complète à visiter chaque nouveaux vampires, je retourna à ma chambre pour relaxer un peu. J’enfila mon gant de cuire tout en m’approchant de ma fenêtre toujours ouverte. Je sorti la main en poussant un sifflement aigus. En moins deux, mon aigle Link plana vers moi pour atterrir sur ma main. Je câlinai ses plumes douces.

-Mon chère ami, tu mets toujours aussi fidèle même avec les années. Que vais-je faire une fois que tu ne seras plus de ce monde? Lui demandais-je conscient bien sur qu’il ne me répondra pas

J’installa Link sur son perchoir et alla chercher mon ocarina. Je revins vers la fenêtre. Je m’apprêtai à souffler une première note quand l’idée me vint d’aller me purifier dans la forêt. Je reprit Link et sauta de ma chambre. Je marchai sereinement vers la frondaison en saluant les vampires qui étaient dans mon champ de vision. La délicieuse fraîcheur de la nature me caressait le visage me remplissant d’une joie immense. Un sourire pendu aux lèvres, je m’enfonçai dans le bois. Je tendis l’oreille pour entendre le chant paisible de m’offrait cette beauté. C’est alors qu’un brisement d’os me retenti dans les oreilles. Je perdis mon sourire et accouru à une vitesse folle à l’endroit d’où venait le bruit. Je m’arrêtai net en voyant une grosse louve pencher sur un pauvre et inoffensif cerf. Mon cœur se serra. Je détestai voir un animal mourir. Je n’eu pas besoin de humer l’air pour savoir que la louve était un lycan. Avec les années, j’avais cesser de me servir de mon odora plus développer que les autres vampires. J’étais couché sur mon lit et je pouvais sentir un lycan ou autre chose à des kilomètres. La senteur infecte des lycan me brûlait le nez alors j’avais décidé de ne plus aspirer par mon nez. Je regardai horrifier par le spectacle qui se jouait devant moi. Mon aigle accrocher fermement à ma main tremblait subtilement. Flegmatiquement, je reculai sans détourner les yeux de la louve sanguinaire. Une branche craqua sous mes pieds malgré mes pas légers.

*Zut!* Pensai-je en fermant les yeux priant pour que la lycan ne l’aille pas entendu.

Je leva la main au ciel se qui voulait dire à Link de s’envoler. Puis, je rouvris les yeux pour pouvoir voir si elle m’avait belle et bien attendu. Je ne voulais pas me battre. Je déteste tout se qui est violent ou blessant. Je tue des humains par obligation alimentaire sinon je ne toucherai pas un de leurs minces cheveux. Alors l’idée de me battre avec une louve qui elle n’hésiterait sûrement pas à me tuer m’inquiétait tout en me terrifiant.

Sans crier gare, elle était rendue derrière moi. Je priai pour que ma mort soit vite pour ne pas souffrir mais elle se transforma en humaine. Elle tapota doucement mon épaule.

« Pourquoi est-ce que je ne peut jamais manger en paix? »

Elle tira sur mon bras, me forçant à tomber à sa hauteur; car elle n’est pas très grande. Elle me souri, son visage était encore plein de sang.

« Pourquoi y a-t-il toujours des vampires qui me gênent? »

Elle me tira encore un peu plus bas et elle finit par s’asseoir sur moi. Je la regardai surpris et sans bouger. Elle s’approcha un peu de mon visage en souriant macabrement. Un frisson me traversa le dos.

« Pourquoi es-tu seul dans la forêt durant une nuit si parfaite pour la chasse des lycans? »

Je n’osai pas la regarder, non parce que j’avai peur, mais à cause du sang qui lui coulait sur le menton se qui me donnait le goût de la lécher pour m’abreuver de se délicieux nectar essentiel à ma survie.

-Je ne me souciai gère de croiser un lycan, je voulais juste m’éclaircir les idées en jouant de la musique. Lui dis-je de ma voix chaude. Je levai les yeux vers la lune. Je n’avais pas remarquer aussi qu’il faisait déjà nuit. Je baissai mes yeux pour la regarder. Je suis désoler de vous avoir importuner pendant votre repas mademoiselle, j’espère juste que vous ne preniez pas un plaisir cruel à me tuer doucement. Je fermai les yeux fermement. Faite vite je vous en pris, je n’aime pas la souffrance.

J’attendais patiemment que mon heure arrive. Je n’avais toujours pas fermé mon odora pour voir si d’autre lycan allait venir se déguster de ma chaire. Je sentais l’arome de Link qui tournait au dessus de nos têtes en poussant de petits cris. Je craignais de lui répondre car la lycan pourrait bien me tuer croyant que je lui transmets un message... Je me remémorai toute ma vie ma fois, assez longue. Après plusieurs minutes, je remarquai que je respirai toujours (façon de parler car j’ai est nul besoin). J’ouvris les yeux avec précaution pour voir se qu’elle attendait pour m’arracher de se monde. Elle était toujours assise sur moi et me fixait étrangement.

-Pourquoi me regardez-vous ainsi chère dame? Et surtout, pourquoi vous ne me tuez pas? Lui demandais-je surpris mais avec un soupçon de reconnaissance dans ma voix sensuelle.

J’entendais sa réponse quand elle se mit à rire de façon claire et bien fort. J’écarquillai les yeux. Elle cessa enfin son rire cristallin et me regarda dans les yeux. Elle se pencha et accota son front sur le mien.

"Donne-moi une bonne raison de te tuer. Ce n'est pas parce que tu m'as dérangé durant mon repas que tu mérites la mort! Et ce n'est pas une raison que tu sois un vampire, je m'en fou. Cependant, si tu as touché à mon frère ou mon maître, je devrai t'infliger toute la souffrance que tu veux."

Elle se laissa glisser, plaçant ses mains sous mon menton, continuant à me fixer de ses yeux brun foncés. Elle plia ses genoux et leva ses pieds dans les airs, son air enfantin me fit sourire. Elle me scruta pendant quelques minutes.

*À quoi peut-elle bien penser?* Me demandai-je en l’examinant moi aussi. Elle sourit une fois de plus.

"Tu dis que tu voulait jouer de la musique? Joues-en, ça ne me dérange pas, mais fait pas de fausses notes, car mes oreilles sont plus sensibles que les tiennes. Et je pourrais te mordre..."

Elle continua de sourire. Un sourire apparu illuminant mon visage chassant toute inquiétude. Avec entrain, je sorti mon ocarina de ma poche. Je le montai à la hauteur de ma bouche.

-Je ne sais pas si vous allez aimer cette chanson mais je l’espère bien. Lui dis-je avec douceur aillant toujours mon sourire chaleureux.

Je soufflai une première note en fermant les yeux. Je voulais lui jouer une chanson que j’avais composée mais sans même m’en rendre compte, mes mains se placèrent pour en jouer une autre. Je fus surpris car la musique semblait celtique. Elle était douce comme une berceuse pour endormir un enfant. Étrangement, ce chant me disait quelque chose comme si je l’avais déjà entendu se qui n’était pas le cas. Je jouais avec plus de passion me laissant transporter par la musique que je jouais. Soudain, le visage d’une femme m’apparu dans mon esprit. J’essayais de me rappeler d’autre chose mais en vint. Après quelque minutes, je souffla la derrière note. Je baissai mon ocarina et ouvrant calmement les yeux. J’essayais de me rappeler la femme que j’avais vue. Elle me rappelait curieusement la louve présente.

*Peu être est-ce la raison qu’y fais que j’ai jouer cette mélodie inconsciemment...* Pensai-je en fouillant dans mes souvenirs qui s’arrêtèrent au jour ou Lawliet ma transformer.

-Pour répondre à se que vous m’avez dit plus tôt, je pensai que vous alliez me tuer car tout les lycans que j’ai sois vue ou sois croiser le voulaient. Puisque vous aviez l’avantage sur moi, je croyais que vous n’auriez aucune pitié à m’ôter la vie. Je suis heureux de savoir que se n'est pas tout les lycans qui sont sadiques et qui détestes les vampires. Alors...Avez-vous aimé cette chanson? Lui demandai-je avec un sourire aimable. Je peux vous en jouer une autre si vous voulez. J’observais sa réaction tout en continuant de l’examiner de la tête aux pieds. Un nouveau Flash apparu dans ma tête. Une jeune femme assise dans l’herbe portant une robe blanche en dentelle. Ces cheveux blonds lui arrivaient aux épaules. Elle se tourna vers moi. Son visage doux était triangulaire. Les iris noisette se planta dans les miens puis un sourire fendit son visage. Une brise froide fit monter l’arome de la lycan à mon nez me ramenant brutalement à la réalité. Je clignai des yeux en secouant légèrement la tête. Je coupa ma respiration n’aillant nul besoin d’elle pour vivre.

*Qui est cette femme qui ressemble tant à la louve?* Pensai-je avant de retourner mon attention sur la femme assise sur moi qui elle me regardait.

-J’avais oublier. Je tendis la main. Je m’appelle John Valachie. Puis-je savoir votre nom? Lui dis-je toujours avec ma politesse et galanterie habituelle. J’espère que ma manière de parler ne vous déplait guère. J’ais vécu en 1653 et dans se temps là, les hommes étaient courtois et respectaient toujours les femmes. Je ne suis pas capable de changer ses habitudes. Ça parait vieux jeux peu être mais je suis comme ça. Terminai-je en haussant les épaules. Alors, quel est votre nom?

Il semblait être vraiment surprit par sa réaction, mais elle s'en moquait. elle ne voulait que jouer, elle n'avait pas jouer depuis tellement d'années avec un homme. Elle le vit alors aller chercher un instrument dans une de ses poches et elle sourit. il allait vraiment lui jouer de la musique? Avec ses oreilles sensibles, elle n'écoutait presque plus de musique, mais elle était certaine que cet homme jouerit une douce mélodie pour pouvoir ''survivre''. La jeune louve n'avait pas vraiment l'intention de le blesser, elle voulait juste avoir un peu d'attention, car son maître ne lui en donnait pas vraiment autant qu'elle ne voudrait. Il n'avait pas vraiment besoin de sa protection, même s'il avait l'air d'un enfant de quatorze ans.
Lorsqu'il commença à jouer, elle se sentit tout de suite soulagée, elle n'avait pas eut de berceuse depuis plus d'une trentaine d'années.

Elle ferma doucement ses yeux, se laissant transporter par la musique douce. Elle savait qu'il ne tenterait pas de fuir, il devait toujours avoir peur d'elle. de plus, s'il bougeait trop, elle n'aurait qu'a se transformer en loup et lui sauter dessus. Elle ne le laisserai pas partir lorsqu'il avait commencé à faire de la musique.
Même si ce n'était pas son genre de musique, elle l'aimait bien. Le vent soufflait doucement ce qui ajoutait un peu de mélancolie à la berceuse. Puis, au loin, elle entendit le doux bruit de l'Eau qui coulait doucement. Elle rebaissa doucement ses jambes, les reposant l'une sur une des jambes du vampire, l'autre entre les jambes du vampire, ur le gazon doux de la forêt. Elle se sentait si douce, si bien, pas comme avec son frère qui ne faisait jamais rien...

"N'arrête pas cette chanson, elle me fait du bien..."

[dsl, très petit post...]

-N'arrête pas cette chanson, elle me fait du bien...

*N’a-t-elle pas entendu ma question ?*

Je haussai les épaules en guise de réponse à ma question silencieuse et replaça l’instrument devant mes lèvres. Mes doigts se déplacèrent sans même que je leur ordonne. Je fermai les yeux pour mieux me concentrer sur mes souvenirs. Je me laissai transporter par ma propre musique jusqu'à encore une fois entrer en transe. À nouveau, je voyais la jeune fille à la robe blanche. Encore une fois, j’étais un spectateur de mes propres souvenirs troublés.

*J’étais debout aux côtés d’un homme. Le soleil brillait de mile feux ce qui le fis plisser des yeux et il eut pour réflexe de mettre sa main au dessus de ses sourcils pour se faire de l’ombre. Je discernai une jeune fille, assise devant lui et qui souriait. Le vent fit tournailler ses cheveux autour de son petit visage. Il s’approcha d’elle pour finalement s’asseoir à ses côtés. Elle se coucha sur ses jambes et se blottit contre lui. Il passa sa main des les cheveux blonds de la jeune fille.

-J’ai écris une chanson juste pour toi. Dit-il

-Pour moi !

-Oui, veux-tu l’entendre ?

Pour réponse, elle secoua frénétiquement la tête tout en souriant. Il sorti un ocarina de sa poche et entama une chanson. Après quelque minute, il fit la dernière note. La petite levait la tête vers lui avec les sourcils légèrement froncés.

-C’est une magnifique berceuse grand frère, mais… est-ce normal que je ressente de la tristesse, de la joie et du réconfort à la fois ? Et on dirait presque une chanson d’adieu…

-C’est normalement petite sœur. En fait, je les écrite au cas ou l’on serait séparé.

-Ne dit pas ça ! Cria-t-elle avec les yeux déjà embués de larmes

-Il faut que tu l’acceptes Céleste parce que ça pourrait arrivé. Je vais t’apprendre cette chanson et ou que tu sois, quoi que tu fasse, quoi qu’il arrive…quand tu entendras cette chanson, je serais toujours là à tes côtés.

Une larme roula sur la joue de la petite fille et elle se jeta au cou de son frère. Il la sera contre lui en lui caressant les cheveux. Soudain, il leva les yeux et me fixa.*

J’ouvris brutalement les yeux. Je continuai de jouer de l’instrument et la lycan était toujours couché sur moi. Je la scrutai attentivement. Je termina la berceuse et j’eue le réflexe de passer ma main dans les courts cheveux de la lycan. Je ne pus m’empêcher de sourire.

*J’ai eue une jeune sœur et on dirait que je savais qu’on allait être séparer…*

-Céleste… Murmurai-je

Je réalisai que je venais d’appeler la lycan de cette façon. Je m’empressai de retirer ma main de sa chevelure tout en me raclant la gorge.

-Donc, vous ne m’avez toujours pas dit votre nom très cher. Et pourquoi vous êtes aussi douce face à un être de mon espèce.

Je regardai son visage et je ne vois que le petit visage de ma sœur.